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Galerie Premières Toiles / Boulogne sur mer
ExpositionExpo collective du 01 au 31 Novembre 2012 avec Dadave et Monch.
Dans une société d’individus, chacun est condamné à être séparé des autres, chaque portrait de cette série est l’histoire de cette séparation. Dans « Une histoire abîmée… », Pierre Leblanc photographie frontalement la réalité telle qu’il la voit et dénonce les travers de nos modes de vie.
Par-delà toute censure, en projetant sur chaque modèle une image mentale très dessinée, à la lisière de l’illustration, il cartographie une société où des hommes et des femmes immobiles apparaissent prisonniers de leur propre représentation. Ceux-ci semblent nous dire : « regarde comme je suis, regarde comme je suis différent ».
Aux Chaudronneries / Montreuil
ExpositionRévéler l'humain, l'humour et la personnalité de chacun, au milieu de cette uniformisation que le "fauteuil" amène dans l'esprit de la collectivité...
Cette série a été réalisée avec les résidents de la M.A.S Glasberg à Montreuil. La Maison d’Accueil Spécialisée (M.A.S) Alexandre Glasberg est un hébergement pour adultes en situation de handicap neuro-moteur d’une capacité de 32 lits. Ce travail a tout d'abord débuté par des rencontres régulières avec les résidents entre septembre et décembre 2011.
Les premières prises de vues ont débuté en janvier 2012 et se sont terminées en juin.
C'est par une tenue, un geste ou une émotion, que les résidents ont transmis une idée, un message. Ces personnages roulants nous parlent de leurs colères, de leurs joies et de leurs vies.
Un grand merci à Majed, Pascale, Fred, Ramzy, Pierre, Martine, Samuel, Roselyne, Bruno, Eric, Corinne, Henriette, Vysel, Zohra, Hazedine, Isabelle, Marie et Françoise...
Je tiens également à remercier l'équipe de la MAS Glasberg pour son acceuil et sa disponibilité.
ARTCITE / Fontenay sous bois
ExpositionDans l’édification de sa comédie humaine, Pierre Leblanc culmine dans la conciliation cohérente des dimensions sociale et artistique. Cet équilibre est assez rare pour être désigné. Plus qu’un moraliste, Pierre Leblanc est un esthète inspiré qui invente le pamphlet visuel. Il éreinte et adresse des signes de solidarité, des messages de tendresse, il porte par l’image, d'une façon brutale et incisive, des idées nobles, il n’hésite pas à parsemer ses déclarations visuelles de bombes insolites et drôles et sur la scène de son objectif, tout le théâtre humain se joue, du sordide au drôle, en passant par l’ignoble ou le poignant. Tout advient dans des lieux confinés : un banc dans un petit square, une automobile ... Ces microcosmes (ces foyers, lieux ardents de l'âtre humain) sont non point des réductions du monde mais des métonymies : tout s'y joue, tout y a lieu du grand barnum humain, splendeurs et misères. Tout, avec une acuité, une efficace foudroyante, y est dit de l'être : le monstre, l'ange déchu, l'animal, la viande, la chair, le vertébré froid, l'affreux, le sale, le méchant, le guignol, le frisson, l'émouvant, le paumé, le bouleversant. L'oeuvre consiste aussi en une intransigeante radiographie de l'espèce. Elle est également exhaussée d'icônes bouleversantes, profondes, remuantes...
- Denys-Louis Colaux
Galerie Museum de la Gare d'Austerlitz / Paris
ExpositionDans une société d’individus, chacun est condamné à être séparé des autres, chaque portrait de cette série est l’histoire de cette séparation. Dans « Une histoire abîmée… », Pierre Leblanc photographie frontalement la réalité telle qu’il la voit et dénonce les travers de nos modes de vie.
Par-delà toute censure, en projetant sur chaque modèle une image mentale très dessinée, à la lisière de l’illustration, il cartographie une société où des hommes et des femmes immobiles apparaissent prisonniers de leur propre représentation. Ceux-ci semblent nous dire : « regarde comme je suis, regarde comme je suis différent ».
C’est alors l’histoire de cet individu séparé en quête de reconnaissance que l’on voit se dérouler devant nos yeux. Nous ne connaîtrons ni le but ni l’origine de cette séparation. L’individu est divisé. La séparation entre l’intérieur (le véritable moi) et l’extérieur (les autres) est une illusion fondée sur la croyance en l’idée même d’individu.
Centre Culturel La Casa Poblano / Montreuil
ExpositionLe CASA Poblano propose du 20 au 27 juillet l'événement Recycl'Art, festival dénonçant les effets néfastes de la société de (sur)consommation, et invite quelques acteurs parisiens de la récupération et du recylage. La particularité du festival, à l'image du lieu, est la pluralité artistique. Ainsi, tous les domaines vont se côtoyer, photographies, sculptures, installations, concerts, projections, débats, stands, ateliers...
Le projet embarque, pour cette première année, quelques associations amies : Les Amis de la Terre, Artisans du monde et La Débrouille, qui feront échos de leurs actions par le biais de conférences, ateliers et stands.
CASA POBLANO est un centre social et culturel indépendant, autofinancé, monté et géré par des artistes et militants associatifs, tous bénévoles.
LES OBJECTIFS
Créer un nouvel, et surtout différent, espace polyvalent d’aide aux associations, aux actions de solidarité, à la création artistique sous toutes ses formes, aux échanges de services et d’idées. Et ce dans un espace de vie convivial où il est possible de se poser tranquillement pour lire, surfer sur Internet, boire un verre, manger un morceau, rencontrer et discuter avec divers porteurs de projets, échanger...
Le Centre Autonome Solidaire & Artistique Poblano propose donc de faire bénéficier gratuitement ses locaux aux projets sociaux et engagés, réunions, festivals, fêtes et repas de soutien, et sous forme d’échanges divers pour les projets artistiques (création, répétition, représentation, cours, stage…).